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8°. pp.XVI-384. Br. edit. con restauri alla cop. poster. e dorso rinf. Fioriture e lievi aloni di umidità. Nelle prime cc. angoli arricciati con piccoliss. mancanze. Fogli chiusi. in barbe. Importante raccolta di lettere tra i coniugi Salis Schwabe e il Cobden. con discorsi e articoli di questo illustre economista. che fu tra i promotori della Lega di Manchester (1838). la "anti-corn-laws-league (la lega contro la legge sui cereali) propugnatrice del libero scambio e dell'abolizione del dazio. La pref. inizia con una lettera di Julie Salis Schwabe a G. de Molinari: "Chez Monsieur. on m'a souvent priée de donner au public ces souvenirs de l'amitié de mon mari et de moi avec M. at Mme. Cobden..."(p.V) e la pref. prosegue con le osservazioni del De Molinari: "La pubblication de ces notes. correspondances et souvenirs. qui concernent le plus illustre des apôtres de la liberté commerciale et de la paix.n'est-elle pas. en effet particulièrement oppurtune au moment où nous sommes? La réaction protectionniste essaie dans toute l'Europe. et même en Angleterre. de défaire l'oeuvre de Cobden et le militarisme entreprend de nous ramener à ces époques de barbarie où les hommes mettaient leur gloire à s'entre-déchirer comme bêtes féroces"(p.IX). Le lettere e i discorsi. datati dal 1846 al 1864. sono di argomento vario. ma tutti di carattere politico ed economico. come ad es.: Discours de m.Cobden a Madrid au banquet des libre-échangistes (14 oct.1846); Extrait d'un discours de Lord Palmerston à Mansion House dans le même mois où Cobden haranguait les libre-échangistes (mai 1847); M.Salis Schwabe a M.me Rich sur la concurrence. l'association et le socialisme (1850); Doscours de m. Cobden au congrès de la paix assemblé à Francfort (22 août 1850); Discours de m.Cobden sur la guerre de Crimée à Leeds (17 jan.1855); M.Cobden à Lord Palmerston (29 oct.1859); etc. [Einaudi 4761 questa ediz. che dice 1° ediz.]. |
Richard Cobden. Notes sur ses vayages. correspondances et souvenirs. recueillies par M.me Salis Schwabe. avec une prèface de m. G. de Molinari.
